Suite à notre rencontre ce 28 avril avec le SPS central, en réunion informelle, le point sur le Télétravail a été abordé.
Comme déjà à plusieurs reprises, des remarques venant du terrain ont été relayées par la CSC uniquement.
En effet, alors qu’une règlementation était en vigueur (note du 1/09/2021), il a été demandé à chaque Service PsychoSocial de chaque établissement de rédiger une charte spécifique ; charte élaborée préalablement par la hiérarchie.
La réalisation de cette charte s’est dès lors organisée en équipe avec la direction locale ; laissant alors certaines latitudes ou restrictions à l’appréciation de chacun.
Dès ce 2 mai, une nouvelle réglementation en matière de Télétravail entre cependant en vigueur ; réglementation qui apparait moins restrictive que les chartes.
Comme nous le percevions depuis des mois, la hiérarchie tente de faire passer la charte avant la note, afin de court-circuiter cette dernière.
Même si nous sommes conscients que notre métier reste un métier de contact nécessitant une certaine présence sur le terrain, nous déplorons cette confusion, le manque de transparence de notre hiérarchie et certains points concrets qui nous sont aujourd’hui imposés de manière détournée (pas de ½ TT ; congé, formation et mission à prendre sur les jours de TT, …) mettant en avant ainsi le devoir d’être présent en lieu et place du droit au Télétravail.
Dans la même lignée, alors que nous demandions des informations sur les maisons de détention, seule la perspective de celles de Berkendael et Courtai fut évoquée. Le lendemain, nous prenions connaissance de l’ouverture d’une maison à Wellin.
Quelle gestion de la communication !